Après avoir bataillé contre le brevet logiciel, l'Association pour une infrastructure informationnelle libre prône "un nouveau système européen des brevets".
Les experts américains de la FTC (U.S. Federal Trade Commission) ont organisé un débat sur la mise en place et la démocratisation des verrous numériques (ou DRM) sur Internet. Les partisans ont affirmé pendant ce débat que les DRM sont une bonne chose car ils offrent davantage de choix aux consommateurs pour les contenus multimédias achetés ou téléchargés (de façon légale).
Amarok, lecteur audio libre et gratuit pour Linux, vient de passer en version 1.4.4. Cette nouvelle mouture introduit notamment la prise en charge des baladeurs Rio Karma, mais la principale nouveauté est sans doute l'intégration désormais complète de la plateforme de vente de musique en ligne Magnatune, laquelle commercialise des morceaux dépourvus de protections numériques contre la copie (les DRM), garantit que 50% du prix de vente final sont reversés aux artistes, et s'attribue une devise que Google ne renierait pas : « we are Not Evil ! ».
Lors d'un entretien sur France Info, Eric Boustouller, PDG de Microsoft France, n'a pas exclu l'idée d'une interopérabilité de ses DRM avec ceux d'Apple
Steve Jobs appréciera sans doute... Dans le but de casser le quasi-monopole entretenu par sur le marché de la musique en ligne grâce aux relations exclusives qui unissent les baladeurs iPod et la plateforme de vente en ligne iTunes, Jon Lech Johansen - alias DVD Jon - prévoit de commercialiser sous licence deux outils permettant à d'autres compagnies d'utiliser la technologie de DRM Fairplay, mise au point par Apple. Le premier de ses deux outils permettra aux fabricants de rendre leurs baladeurs compatibles avec Fairplay. Le second autorisera la lecture de contenus émanant d'autres services qu'iTunes sur les baladeurs iPod tout en assurant leur protection contre la copie. Seule inconnue : Apple laissera-t-il ce jeune hacker de 22 ans briser le cercle vertueux qui assure sa prospérité ?
Après plusieurs mois de débats enragés concernant l'interopérabilité entre les plateformes et l'impact du piratage sur l'industrie de la musique à l'occasion de la loi DADVSI, les services de vente de musique en ligne français semblent décidés à explorer la piste des fichiers musicaux vendus sans mesures techniques de protection contre la copie. C'est ce que tente aujourd'hui FnacMusic (numéro trois du marché français), avec deux morceaux commercialisés au format MP3, suite à un appel lancé mercredi par VirginMega, actuel numéro deux du marché derrière iTunes.
eMusic.com déclare avoir attiré 20.000 abonnés deux mois après son lancement européen. Le kiosque sans DRM peut-il bousculer iTunes sur le vieux continent ?
Après les américains eMusic ou encore , c'est au tour de Virgin et de la Fnac de s'engager dans la vente de musique sans mesures techniques de protection
VirginMega, l'une des principales plateformes de vente de musique en ligne en France, serait-elle vraiment prête à proposer de la musique sans DRM ? La filiale de Lagardère se dit prête à ouvrir le débat en la personne de Laurent Fiscal, son directeur marketing produits. Ce dernier explique, lors d'un entretien accordé à l'agence Reuters, que l'absence de mesures techniques de protection contre la copie sur les sites de vente en ligne permettrait d'élargir le marché en l'ouvrant à tous les baladeurs possibles, sans restriction.
Alternative française légale aux plates-formes américaines comme eMusic et Spiralfrog, Airtist.com propose le téléchargement de MP3 sans DRM.
Comme le montre l'émergence de services comme eMusic (vente de musique sans DRM) ou Spiralfrog (téléchargement légal et gratuit financé par la publicité), le marché de la musique est en train de connaitre de profonds bouleversements. De l'avis général, la démocratisation d'Internet et l'engouement pour les réseaux d'échange de fichiers de type peer-to-peer y sont pour beaucoup. Pour Niklas Zennstrom, cofondateur de Kazaa et actuel PDG de Skype, les évolutions induites par le succès des plateformes de téléchargement sont loin de remettre en cause l'industrie du disque : au contraire, elles se seraient révélées tout à fait positives dans la mesure où elles ont permis aux ténors du secteur de prendre conscience rapidement de la nécessité de s'adapter aux nouveaux modes de consommation de la culture.
La célèbre « Free Software Fondation » (fondation du logiciel libre) a mis en ligne un site nommé « DRM.info » qui vise à informer les consommateurs sur le concept des verrous numériques (ou DRM) et les limitations qu'ils peuvent induire. Sur sa page d'accueil, le site résume ainsi sa mission :
Dans une entrevue accordée à PCWorld, Ashwin Navin (voir photo ci-contre), le co-fondateur de la technologie d'échange de fichiers Peer To Peer et président de la firme du même nom expose son point de vue sur les verrous numériques (ou DRM).
Face au faible engouement des internautes pour les fichiers protégés, a décidé de commercialiser un album complet, sans DRM
Les mesures techniques de protection, généralement regroupées sous l'acronyme DRM, pour Digital Rights Management, se sont tout d'abord imposées comme la norme en matière de musique en ligne. Le vent serait-il en train de tourner ? Alors qu'un service comme eMusic, qui se fait fort de vendre des fichiers au format MP3 dépourvus de protections contre la copie, fait grand bruit (voir eMusic : la musique sans DRM arrive en Europe), ! a annoncé aujourd'hui son intention de suivre la même voie avec le dernier album de Jesse McCartney, Right Where You Want Me.
Inquiet de l'application de la loi sur le droit d'auteur, le collectif StopDRM organise le 19 septembre 2006 "une dénonciation volontaire de citoyens."
eMusic, alternative américaine à l'ITunes Music Store d'Apple, lancera les versions française, allemande, espagnole et italienne de son service en 2007.
Les auteurs de FairUse4WM auraient-ils décidé de jouer avec les nerfs de Microsoft ? Ils viennent en effet de mettre à jour leur logiciel permettant de dépouiller les fichiers Windows Media équipés du système PlaysForSure de leur protection contre la copie (DRM).
Bien que l'effet « DADVSI » soit quelque peu retombé, les DRM, ou mesures techniques de protection contre la copie, continuent à alimenter régulièrement l'actualité. Les DRM employés par Microsoft pour son format WMA et par pour l'AAC vendu sur l'iTunes Music Store ont tous deux été la cible de développeurs qui sont parvenus à mettre au point un moyen de les outrepasser. Ces contournements ne devraient cependant pas causer grand tort aux deux éditeurs puisque le premier a d'ores et déjà entrepris de mettre à jour son système et que le second ne devrait pas tarder à faire de même.
Depuis le vote de la loi DADVSI par le parlement, est resté étonnement muet, ne donnant aucune précision sur l'avenir de iTunes ou de sa gamme iPod
Disponible aux Etats-Unis depuis quelques temps et remportant un franc succès, le service payant et légal de téléchargement de musique « sans DRM ajouté », eMusic (voir la brève eMusic : succès pour la vente de musique sans DRM), débarque désormais en Europe. Pour rappel, cette plateforme de téléchargement des morceaux au format MP3 qui présentent l'insigne particularité de ne pas être munis de protections contre la copie non autorisée (les tristement célèbres DRM). Ces fichiers peuvent donc être lus, sans le moindre problème, sur le baladeur de votre choix, qu'il soit siglé d'une pomme ou estampillé PlaysForSure.
Spécialiste américain de la musique sans DRM, eMusic est enfin accessible aux internautes européens à la recherche d'une alternative à iTunes Music Store.
Connaissez-vous eMusic ? Cette plateforme de téléchargement payant de musique se présente, pour les possesseurs d'iPod américains, comme la seule alternative à l'iTunes Music Store. eMusic propose en effet au téléchargement payant des morceaux au format MP3 qui présentent l'insigne particularité de ne pas être munis de protections contre la copie non autorisée (les tristement célèbres DRM). Ces fichiers peuvent donc être lus, sans le moindre problème, sur le baladeur de votre choix, qu'il soit siglé d'une pomme ou estampillé PlaysForSure. Sur eMusic, quelque 200 000 utilisateurs téléchargent plus de cinq millions de morceaux par mois. La musique sans protections : un modèle qui marche ?
Challenger d'Apple sur le marché du téléchargement audio, teste le téléchargement d'un titre au format MP3, sans mesure technique de protection (MTP)
Yahoo! avait déjà frappé fort aux Etats-Unis en lançant au mois de mai 2005 un service baptisé « Yahoo! Music Unlimited » permettant de télécharger de façon illimitée de la musique en échange d'un abonnement mensuel de 10 à 12 dollars US (voir les brèves Yahoo! : Location de musique illimitée à 7$ (màj2) et Yahoo! Music Unlimited augmente ses tarifs).
Le projet de loi français sur 'le droit d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information' fait à nouveau réagir et l'Internet Society.
"BubbleGum Explosion", le nouvel album du groupe pop-rock français les Bubblies, est disponible en pré-commande sur clé USB sans DRM.
Créé au mois d'octobre 2004, le « Coral Consortium » (qui regroupe plus de 40 sociétés/organisations dont HP, Intertrust, Philips, Panasonic/Matsushita, Samsung, Sony, Twentieth Century Fox, IFPI, NBC Universal, LG Electronics, et Thomson) planche depuis quelques temps sur le problème causé par les restrictions imposées par les DRM et notamment sur l'absence d'interopérabilité.
Craignant le passage en force du projet 'droit d'auteur', Odebi invite les internautes à appeler directement le bureau des attachés parlementaires de l'UMP.